Traitements du bois et du métal

Nettoyage de l’épave © Inrap

Pour la nécessité de sa conservation, le chaland a d’abord été placé dans un atelier de 200 m2 dont l’atmosphère est parfaitement contrôlée en permanence en température et en humidité.
L’épave comportait de très nombreux clous métalliques qui sous l’effet de l’humidité produit de l’acide sulfurique susceptible de ronger le bois. Un traitement différencié des parties en bois et des parties métalliques a donc été entamé.