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Les découvertes

A Houplin-Ancoisne, Nord, le diagnostic archéologique a été réalisé en une seule tranche, sur une surface de 4,8 ha.

Malmanoury - Eva 2
Les découvertes

A Sinnamary, Guyane, le site a été découvert lors d’un diagnostic faisant partie d’une série d’opérations préventives sur les futures carrières du Cnes destinées à pourvoir en sable la mise en place du pas de tir de la fusée russe Soyouz.

Les premiers bâtiments de la cité phocéenne archaïque<br/> Aux origines de la plus vieille ville de France : Marseille
Les découvertes

À quelques mètres du Vieux-Port, une fouille menée dans le quartier du Panier dans le cadre de la rénovation du collège du Vieux-Port, a permis de mettre au jour les premiers aménagements de l'implantation de la colonie grecque.

Le Cimetière
Les découvertes

A Oppedette, Alpes de Haute-Provence, l’extension prévue de l’ancien cimetière d’Oppedette sur une parcelle contiguë a motivé des sondages qui ont été réalisés sur 620 m2.

Parc d'activité de Tournebride, Le Civerda
Les découvertes

A Le Bignon, Loire-Atlantique, ce diagnostic archéologique a été mené à l’ouest de la commune du Bignon. 143 sondages ont été effectués sur l’emprise du projet, 48 se sont révélés positifs.

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Les découvertes

A Le Lorrain, en Martinique, une fouille a permis de mettre en évidence deux phases chronologiques, l’une amérindienne, l’autre coloniale, illustrées par 125 structures en creux et un niveau de sol très altéré couvrant une superficie de 1 458 m2. L’occupation amérindienne est représentée par deux grandes fosses et une structure encore inédite en Martinique, mais connue par ailleurs dans les Petites Antilles et en Guyane, qui correspond à une fosse dite « à dépôt de céramiques ».

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Les découvertes

A Gourbeyre, Guadeloupe, localisé au sud de la côte sous le vent de la Basse-Terre, à 1 km du bord de mer, le site est implanté sur un petit plateau à 100 m d’altitude sur les contreforts des monts Caraïbes.

Les découvertes

A Betton, Ille-et-Vilaine, la mise en place de cette opération a été motivée par le fait qu’une partie des parcelles concernées par les travaux était située sur un gise-ment gallo-romain repéré en 1987 par les prospecteurs du Centre de recherches archéologiques du Pays de Rennes (Cerapar).

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