Vue partielle depuis l'ouest des deux zones de fouille, de part et d'autre d'une route. En haut de l'image, le secteur du village ; en bas, l'aire d'ensilage.  Madame, Saint-Gilles le Vieux, Aimargues (Gard), 2013. © Airimage, Inrap
Les découvertes

Le site de Missignac, villa des Ve-XIIIe siècles, a été identifié en 1995 grâce aux mentions d’archives et à la découverte de ses greniers.

Vue aérienne du site après terrassement.  Pahon, Lattes (Hérault), 2013.  © Drone Concept, Inrap
Les découvertes

La fouille du site de Pahon, sur la commune de Lattes, s’est déroulée à l’automne 2013 dans la partie la plus occidentale du futur tracé de l’autoroute A9. Elle faisait suite à un diagnostic réalisé en 2012. 

Vue aérienne du village fortifié en cours de fouille.  Mas de Roux, Castries, 2012-2013. © Mathieu Ott, Inrap
Les découvertes

Les origines du village sont difficiles à percevoir, compte tenu de l’impact qu’ont eu les aménagements postérieurs.

Vue générale prise par drone de la surface décapée en 2013.   Aubrespin, Saint-Gervasy (Gard), 2013.    © Drone Concept, Inrap.
Les découvertes

En janvier 2011, un diagnostic archéologique mené sur la commune de Saint-Gervasy, au lieu-dit Aubrespin, avait révélé la présence de vestiges liés à des occupations humaines échelonnées entre le Néolithique et l’Antiquité.

Gobelet à anse en céramique avec graffiti (14 cm de hauteur), 175-225. Gobelet de type Desbats 66 sigillée claire B rhodanienne, comportant plusieurs séries de graffiti, (en cours d’étude). Castelle GR, Lattes (Hérault), 2014.  © Marcelle Boyer, Inrap.
Les découvertes

Le site de Castelle GR est situé au nord-ouest de la commune de Lattes, sur les versants d’un vallon, à proximité de quatre autres sites, (Pinède , Castelle & Fromigue ; Castelle ; Pahon ; Fromigue).

Plan antique de Toulouse et localisation du site
Les découvertes

Dans le centre de Toulouse, le site de l’Hôtel Saint-Jean a été fouillé sur une épaisseur de 3,5 m et sur une emprise de 1 500 m², ce qui a généré des découvertes majeures correspondant à trois grandes phases.

La façade sur la place des Hauts-Murats
Les découvertes

À proximité immédiate du château Narbonnais, l’emprise du diagnostic archéologique (sur 1 891 m²) est circonscrite par le rempart antique au nord, entre la tour des Hauts-Murats et celle de la Sénéchaussée, et par le rempart médiéval au sud.

Dessin du rempart antique
Les découvertes

L’opération archéologique, réalisée en amont de la construction d’un immeuble doté d’un parking souterrain, a permis d’étudier le rempart de la ville de Toulouse depuis le Haut-Empire jusqu’au Moyen Âge, et de découvrir un puits à noria daté du XIVe siècle, témoignage inédit de la vie quotidienne à Toulouse et de son environnement.

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