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  1. Les Belles du Nord
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  • 1/16
    Un emplacement prometteur
  • 2/16
    Les sols en terre battue du XIVe siècle
  • 3/16
    Début de la fouille manuelle
  • 4/16
    Trois statues apparaissent
  • 5/16
    Changement de cap
  • 6/16
    Bilan d’une recherche inattendue
  • 7/16
    Marie-Madeleine
  • 8/16
    Sainte Agnès de Rome
  • 9/16
    Deux petits moines anonymes
  • 10/16
    En route vers de nouvelles aventures
  • 11/16
    Séjour tranquille au centre archéologique
  • 12/16
    Puis départ vers le musée des Beaux-Arts
  • 13/16
    Nettoyage et tests préparatoires
  • 14/16
    Une restauration méticuleuse
  • 15/16
    À nouveau exposées aux regards
  • 16/16
    Pour approfondir

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Pendant leur étude, et jusqu’à ce qu’elles soient dévolues à l’État, les statues, comme d’ailleurs tous les objets archéologiques recueillis, sont sous la garde de l’Inrap.

Séjour tranquille au centre archéologique

Déposées pour étude au centre archéologique de l’Inrap à Villeneuve-d’Ascq, grâce à l’expertise de la conservatrice du Palais des Beaux-Arts, les deux saintes peuvent rapidement être datées aux alentours de 1520 et celles des moines, de la fin du XVIe ou du début du XVIIe siècle. Elles restent là pendant deux ans, leur état est surveillé régulièrement. Les recherches en archives échouent à élucider l’énigme de leur enfouissement. La céramique présente dans la fosse datant du XVIIIe siècle, on peut penser qu’elles ont été cachées à la Révolution et oubliées ensuite.

Pendant leur étude, et jusqu’à ce qu’elles soient dévolues à l’État, les statues, comme d’ailleurs tous les objets archéologiques recueillis, sont sous la garde de l’Inrap.

© Dominique Bossut, Inrap

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