Vannes 6
Les découvertes

Une équipe de l’Inrap – missionnée par la Ville de Vannes – vient de mettre au jour les vestiges du château de l’Hermine, construit par le duc de Bretagne Jean IV à partir des années 1380. Les recherches ont révélé le logis ducal et sa façade ornementée, différentes pièces ainsi que des espaces de circulation dont plusieurs escaliers. L’ensemble permet d’esquisser un premier plan de cet édifice.

Morlaix 2
Les découvertes

Des archéologues de I'Inrap mènent actuellement des fouilles archéologiques à l'intérieur de l'église du couvent des Jacobins et mettent au jour des vestiges de cet établissement religieux depuis sa fondation jusqu'à la Révolution Française. La première phase de la fouille a livré 230 tombes, dont celle d'un gouverneur de Morlaix, ainsi que de rares objets de dévotion.
 

Noyal-Châtillon 5
Les découvertes

Une équipe de l'Inrap est intervenue préalablement au projet d’aménagement de la Zac du Hil 3. Menée sur une superficie de 3,7 hectares, cette opération, prescrite par le service régional de l’Archéologie (Drac Bretagne), a mis au jour un habitat antique ainsi qu’une occupation plus tardive des époques médiévale et moderne.

Maen-Roch 1
Les découvertes

À Maen Roch, une fouille de l'Inrap a permis de mettre au jour, sur une surface de 3 hectares, les restes de deux occupations : un habitat daté des deux derniers siècles avant J.-C. (époque gauloise ou second âge du Fer) et une petite nécropole rattachable aux deux premiers siècles après J.-C. (époque gallo-romaine). Cette opération fait suite à un diagnostic archéologique réalisé par l’Inrap en 2020.

Quimperlé 2
Les découvertes

À Quimperlé, l'Inrap fouille les vestiges du couvent des Capucins. La mise au jour du dépôt de fondation, sur lequel est mentionnée la date de pose de la première pierre en 1654, constitue une découverte rare.

Vue zénithale de la tombe de soldats attribués à l’armée royale inhumés au couvent des Jacobins.
Les découvertes

Une recherche pionnière sur l’isotope du soufre a permis d'identifier la provenance de soldats morts à Rennes, au cours du siège opposant la Bretagne et ses alliés au royaume de France, puis inhumés au couvent des Jacobins. Rozenn Colleter, Klervia Jaouen et Clément Bataille reviennent sur ces recherches qui font l'objet de deux publications dans la revue en ligne et en libre accès PLOS ONE – Public Library of Science ONE – en partenariat avec l'Inrap, le CNRS, le Max Planck Institut, les universités d'Ottawa, Rennes II et Toulouse III.

Cercueil en plomb découvert au couvent des Jacobins, Rennes (Ille-et-Vilaine), 2015.  Ce cercueil est de forme trapézoïdale avec un couvercle en bâtière orné d’une croix ancrée. La cuve a été accidentellement perforée à la tête par un engin mécanique avan
Les découvertes

De 2011 à 2013, une équipe de l’Inrap a mené une fouille préventive intégrale du couvent des Jacobins, futur centre des congrès de Rennes Métropole. Dans un article publié dans PLOS ONE, les chercheurs reviennent sur l’étude exhaustive de 606 sépultures et réfutent un processus, admis jusqu’alors, de sécularisation des pratiques funéraires entre le Moyen Âge et l’Époque moderne.

Visuel1-Saint-Jouan-des-Guerets.jpg
Les découvertes

À Saint-Jouan-des-Guérets, en Ille-et-Vilaine, de nombreux indices  témoignent d’une présence récurrente de l’Homme à partir du Néolithique. Un vaste enclos gaulois a notamment été repéré sur les pentes orientales d’un relief.

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