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Actualités de l'Inrap
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À Dijon, une équipe de l'Inrap a mis en évidence une succession de séquences d’occupations depuis le Ier siècle de notre ère jusqu’au début du XXe siècle.
Labellisée « L’Inrap a 20 ans ! », l'exposition « D'un monde à l'autre, Augustodunum de l'Antiquité au Moyen Âge » est présentée au musée Rolin d'Autun jusqu'au 30 septembre 2022. Agathe Mathiaut-Legros, Directrice des musées et du patrimoine à la Ville d'Autun, revient sur le vase diatrète et le mobilier exceptionnel découverts lors de la fouille de de Saint-Pierre-l’Estrier venu dynamiser la connaissance de la période de l'Antiquité tardive cruciale pour le destin de la ville.
Des vestiges d'un établissement rural de l'Antiquité tardive (IVe - Ve siècles) ont été mis au jour par l'Inrap à Appoigny dans l'Yonne. Le site semble illustrer une étape vers la constitution des hameaux et des communautés villageoises du début du Moyen Âge.
Une équipe de l'Inrap vient de mettre au jour un habitat du haut Moyen Âge à Arbouans, représentant une rare découverte dans le département du Doubs. La présence de deux fossés datés des Xe-XIIe siècles pose la question d’un déplacement de l’occupation, peut-être lié à des risques de crues du Doubs dans cette plaine alluviale.
Dans le quartier de Montmuzard à Dijon, une équipe de l'Inrap a mis au jour des vestiges gallo-romains et modernes éclairant l’histoire du château de Montmuzard.
La fouille du site de Choisey a permis aux archéologues de l’Inrap de mettre au jour de nombreux vestiges archéologiques témoignant d’une importante fréquentation de la plaine du Doubs dès la Préhistoire. Les plus anciennes traces d’occupation remontent en effet au Mésolithique, faisant de Choisey un lieu privilégié pour l’étude de cette période.
À Villeblevin, l'Inrap a mis au jour près de 30 silos de types et de tailles variables, s'échelonnant de l'âge du Bronze au Moyen Âge. Ces vestiges suggèrent une activité à dominante agricole, ainsi que la présence d'habitats à proximité.
Fouillée au XIXe siècle par Auguste Galaire, la grande villa du Magny de Port-sur-Saône (15,4 ha) a fait l'objet d'une nouvelle intervention de l'Inrap dans sa partie résidentielle (pars urbana). Celle-ci a mis en évidence un bâtiment, les traces d'une galerie à portique, ainsi qu'une cave recelant des milliers de fragments d’enduits peints.