Sépulture d’un jeune enfant décédé à l’époque augusto-tibérienne.
Les découvertes

À Aulnat, l'Inrap a mis au jour la tombe d'un très jeune enfant datant de l’époque augusto-tibérienne. Le défunt est accompagné d'un jeune chien et d'une profusion exceptionnelle de mobilier, une sépulture sans comparaison dans la région et pour la période. 

Vue des trois blocs  en cours de fouille, dont la stèle face décorée contre le sol.
Les découvertes

En 2017, à Chamigny, l'Inrap avait mis au jour trois importants blocs de pierre conservés dans des limons. Depuis, un enregistrement photographique en lumière rasante a révélé des premiers motifs sur la face du bloc principal qui reposait au sol, avant qu'un nettoyage exhaustif ne dévoile l’intégralité du décor anthropomorphe gravé, apparentant ce mégalithe aux « statues-menhirs » néolithiques, une rareté en Île-de-France.

Vue générale de l’emprise des caves depuis l’est.
Les découvertes

À Cruas, l'Inrap a mis au jour divers aménagements d'un complexe abbatial dont l'histoire se conjugue avec celle des inondations du ruisseau de Crûle.

Vue de certains vestiges de l’arsenal.
Les découvertes

Une fouille de l'Inrap du centre-ville de Dunkerque a permis de mettre au jour une partie d’un ancien faubourg, datant du milieu du XVIe, ainsi que l’arsenal de marine qui lui a succédé, édifié par Louis XIV et détruit dans la première partie du XXe siècle.

Actu Eschau 1
Les découvertes

À Eschau, une étude archéologique du bâti de l'église abbatiale Saint-Trophime est actuellement menée par l'Inrap. Cette étude va permettre de détecter les différentes phases d’évolution d'un bâtiment dont les origines remontent au VIIIe siècle. Reconstruit autour de l'an Mil, il offre un rare reflet de l'architecture et des techniques de construction du premier âge roman alsacien, malgré ses remaniements ultérieurs. 

4 rue des Mastraits - Nécropole du haut Moyen Âge
Les découvertes

La nécropole du haut Moyen Âge de Noisy-le-Grand (93) se distingue par le nombre de sépultures, 765 sur 1200 m² et l’excellent état de conservation des ossements et des vestiges malgré sa situation en plein centre-ville. Créée dès la fin du VIe siècle, la nécropole mérovingienne regroupe 253 sépultures et est ceinte par un fossé circulaire. Les sujets sont inhumés habillés et généralement déposés dans de volumineux sarcophages de plâtre. À l’époque carolingienne, les défunts, enserrés dans des linceuls, sont déposés dans de simples fosses. Ces 489 sépultures s’installent sur les inhumations précédentes.

Vue de la partie nord de la nécropole gallo-romaine de Bondy.
Les découvertes

De nombreuses fouilles se sont déroulées dans ce secteur de Bondy, en plein centre-ville, totalisant aujourd’hui une surface de 2 hectares d’investigation. Les premières recherches, eurent lieu en 1963 et permirent la mise au jour de sépultures dites « franques », c’est-à-dire mérovingiennes ! Par la suite, une vaste nécropole gallo-romaine de 327 sépultures accompagnée de quelques structures et un village du haut Moyen Âge et son cimetière de 329 inhumations furent découverts. En 2007, des sépultures, uniques en Île-de-France, de la Peste noire de 1348 furent dégagées à seulement quelques centimètres au-dessus de sarcophages en calcaire du Bas Empire.

Vestiges de « fond de cabane » de l'époque carolingienne, avec les empreintes des poteaux en axe central qui soutenaient la toiture.
Les découvertes

À Bignicourt-sur-Marne, l'Inrap met au jour les vestiges d'un site carolingien (VIIIe-IXe siècles). Autour des bâtiments construits en matériaux périssables, ont été identifiés de nombreux « fonds de cabane » témoignant d'activités artisanales et agricoles.

Pages